Nom du blog :
voronet
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Catégorie :
Blog Famille
Date de création :
21.05.2009
Dernière mise à jour :
25.02.2012
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Derniers commentaireson se souvient toujours de toi
Par Anonyme, le 02.11.2014
presque 3 mois vous séparaient, monsieur strihan - dody est né le 2 février 1934 et mort - certificat de décès
Par Ina Deculescu, le 16.11.2013
j'etais l'ami d'ecole et de notre passion comune: les dessins des carosseries d'auto. nous etions inseparees j
Par horia strihan, le 16.11.2013
ma numesc dan râscanu, arhitect, sunt nepotul lui edouard râscanu, frate cu theodor râscanu scriitorul. ma ocu
Par Dan Rascanu, le 08.09.2012
c'est très bizarre, comme commentaire ... qui êtes-vous?htt p://voronet.ce nterblog.net
Par voronet, le 03.01.2011
Tudor Rascanu est né le 2 Février 1934 avec une cuiller d’argent dans la bouche. Tout le monde le croyait. La vie se chargera de la lui voler … Il s’est suicidé à 36 ans, en octobre 1970. Sa mère, ma tante, était la demi-sœur de mon père. Orpheline de père, elle avait été élevée par mon grand-père, et princièrement éduquée. Voyages à l’étranger, sorties dans le grand monde – rien ne semblait résister à cette jeune fille dont la beauté était faite de finesse et de douceur. Le général Théodor Rascanu, issu de l’une des plus anciennes familles de Bucovine, famille d’intellectuels et grands propriétaire terriens, en tomba amoureux. Pour ma grand-mère, une maîtresse-femme, quelle revanche sur la vie ! Sage-femme obscure, veuve encombrée d’une fillette en bas-âge, elle avait déjà quitté son humble condition en épousant mon grand-père, brillant médecin et l’un des fondateurs de l’école roumaine de psychiatrie au grand dam de sa belle-famille de petits-commerçants qui rêvaient d’un mariage plus reluisant pour leur fils devenu grand médecin ! Et c’est ainsi qu’Alexandrina Angelescu, fille de sage-femme et de petit fonctionnaire, fit son entrée dans le beau monde en épousant Théodor Rascanu. Le train de vie du couple était princier. La belle maison de Bucarest ne les accueillait qu’entre deux voyages. La naissance de Dody a illuminé la vie de Didy et de Doru. C’était un enfant aux boucles blondes, rieur et choyé, que son père regardait comme la huitième merveille du monde. Rien ne devait être assez beau pour lui – dès sa naissance, une flopée de nannies a veillé sur son éducation. Tantôt une Suissesse, tantôt une Allemande, tantôt une Anglaise. Certainement polyglotte en culottes courtes, Dody avait accompagné ses parents en Tchécoslovaquie, durant quelques années, alors que son père travaillait chez Skoda. En hiver, on l’emmenait skier dans les Alpes suisses, l’été se dorer sur les plages de la Mer Noire. Des photos de ses premières années de vie le montrent au volant de la voiture de son père, avant-goût de la grande passion de sa vie. Une petite histoire racontée par ma grand-mère me revient : un jour, alors que Dody était dans la voiture, Didy a eu un accident, heureusement sans suites : la voiture avait versé dans un fossé. Doru a déchiré son permis de conduire à l’idée qu’elle aurait pu tuer Dody, et elle n’a plus jamais repris le volant ! Dès que Dody a été capable de tenir un crayon, il s’est mis à dessiner des voitures. Des cahiers et des cahiers entiers remplis de dessins de voitures … La joie de vivre explose sur toutes les photos. Un regard et un sourire facétieux, des fossettes d’enfant heureux. Tout le monde savait déjà que la vie de cet enfant sera liée aux voitures. Il n’avait que 13 ans lorsqu’il s’est retrouvé seul avec notre grand-mère commune. Son père, qui avait assuré durant la guerre la direction de l’usine d’armement roumaine Margineanca, avait appris, fin 1946, qu’il se trouvait sur une liste des communistes en tant que criminel de guerre, pour cette raison. Il se savait en sursis. Il a donc décidé de partir, avec sa famille et toute sa fortune, très considérable, en Tchécoslovaquie d'abord, le temps que l'année scolaire de Doddy se termine, en Italie ensuite. Didy et Doru sont donc partis seuls, afin de préparer l’arrivée de Dody. Il était collégien, il était hors de question de lui faire manquer l’école. Didy est revenue, quelques mois plus tard, le chercher. A l’époque, il avait encore les rondeurs de l’enfance, mais une certaine gravité, une certaine maturité sur le visage, assez étonnantes pour un adolescent de son âge, percent déjà sur les photos. Il a débarqué à Rome en fils de bonne famille, dans un bel appartement situé à deux pas de la Villa Ada, au 97 Viale Parioli. Costume à pantalon court, au genou, regard un peu perdu – il a dû avoir du mal à comprendre ce qui se passait dans sa vie, si tranquille jusqu’alors. Mais la belle vie a continué. Il avait terminé ses études secondaires, au lycée Chateaubriand de Rome, au moment où le malheur allait sonner le glas de plusieurs vies; son père avait confié toute sa fortune à une relation d’affaires indélicate qui, du jour au lendemain, les a laissés sur la paille, littéralement. Plus d’argent, plus d’appartement cossu, la misère … Comment l’ont-ils vécue ? J’imagine que Doru a dû trouver des petits boulots pour les faire vivoter. Didy n’avait jamais travaillé – et elle est tombée malade. Un cancer qui allait l’emporter très vite – curieusement, à Paris - le 20 Décembre 1951. Vraisemblablement, des amis communs qui étaient en France avaient dû prendre soin d’elle. Elle avait à peine 45 ans … Enterrée au Thiais, une concession de dix ans que personne n’a renouvelée, ses restes ont été transférés dans la fosse commune au début des années 70. Doru, dont je ne sais rien durant ces années, est mort à Rome, en 1959 – plus personne ne sait dans quel cimetière, dans quelle fosse commune reposent ses restes. C’est après la mort de son père, vraisemblablement, que Dody a quitté l’Italie pour venir en France. A peine arrivé, une tuberculose l’a jeté dans un sanatorium pendant un an. Sur la photo de lui dont je me souviens, qui est restée gravée dans ma mémoire d’enfant, il était très maigre et, penché sur une table de billard, s’apprêtait à jouer. Son visage était concentré sur la boule, ses mains très belles. Cette photo, comme toutes les lettres qu’il avait envoyées à notre grand-mère, est devenue poussière dans le cercueil de cette dernière, ma mère ayant respecté ses dernières volontés, fin novembre 1963 : elle avait demandé que tout ce qui lui venait de Dody (de Didy aussi ? Je ne sais plus) soit posé à ses pieds, dans la bière, au moment du grand départ. Après la mort de notre grand-mère, Dody a envoyé une dernière lettre à mon père, dans laquelle il lui signifiait que, sa grand-mère disparue, il ne voulait plus entretenir aucune relation avec sa famille roumaine, à l’exception de sa petite cousine (moi) qu’il souhaitait rencontrer un jour. En 1964, à l’occasion d’un voyage officiel à Paris, mon père a rencontré Annette, une jeune fille que, peu de temps auparavant, dans une des dernières lettres à ma grand-mère, il disait compter épouser. Mon père s’est rendue chez elle, Bd Victor Hugo à Paris, pour apprendre que Dody avait disparu du jour au lendemain sans explication et qu’elle ne savait plus rien de lui. En France, il s’était lié avec des jeunes Roumains exilés à Paris après avoir fui le communisme roumain. Parmi eux, Sandu Ghika, authentique prince roumain – son nom était resté gravé dans ma mémoire et, lorsque je l’ai connu et fréquenté à Paris, au début des années 80, il m’a confirmé avoir en effet connu Dody, mais l’avoir ensuite perdu de vue. A l’époque, Sandu Ghika était déjà le responsable de la section roumaine de l’OFPRA (Office Français pour les Réfugiés et Apatrides) – pourtant, il n’avait jamais rien eu d’officiel concernant Dody – ce qui, à la lumière de ce que je sais maintenant, était assez étonnant. Il m’a juste dit qu’un Bulgare de ses connaissances lui aurait appris que Dody s’était suicidé, mais qu’il n’avait jamais eu confirmation. Fin 2001, grâce à Internet, j’ai découvert la mythique voiture Monica dessinée, dans sa forme finale, par … Tony Rascanu. Je n’ai pas douté un instant qu’il s’agissait de Dody – et j’ai pensé que son prénom écorché était dû à une erreur. Mais ce n’est que huit ans plus tard que j’ai enfin pu avoir des informations, un petit message me confirmant son suicide et me conseillant de contacter Henri S. qui l’avait bien connu, à la fin de sa vie. J’appris par lui que Dody avait été engagé par M. Tastevin, le père de la Monica, pour lui donner sa forme finale, qu’il avait travaillé d’arrache-pied, avec toute l’équipe, pour faire avancer le projet. Un jour de Novembre 1970, inquiets de ne pas le voir revenir au bureau depuis plusieurs jours, ses collègues de l’équipe Tastevin avaient envoyé un des leurs rue Croulebarbe, où habitait Dody. Ce monsieur, hélas disparu en 2008, est arrivé trop tard. Dody s’était pendu en se tirant une balle dans la tête. Ils avaient essayé de retrouver sa famille roumaine, sans succès. M. Tastevin avait pris en charge son enterrement au cimetière d’Ivry sur Seine. Pourquoi avait-il mis fin à ses jours, de cette manière peu commune qui ne laissait aucune chance au ratage du geste ? Henri m’a dit se souvenir que Dody aurait été très amoureux, à l’époque, d’une jeune femme qu’il pensait épouser. Quel désespoir innommable avait conduit ce jeune homme de 36 ans à mettre fin de façon aussi violente à sa vie ? La plupart des mes interrogations resteront sans réponse. Après un trouble profond, au moment où la vérité m’a été dévoilée, un sentiment bizarre a commencé à guider mes pensées. Il me semble, parfois, que Dody est là, quelque part à mes côtés, et que le réponses s’imposent. C’est donc une reconstitution intuitive, irrationnelle mais vraisemblable de l’inconnu de sa vie qui s’impose de plus en plus à moi comme avoir été sa vraie vie. A 18-20 ans, on a honte de faire voir aux autres les revers de fortune que notre famille a pu subir. On essaie de le cacher le plus longtemps possible. Mais lorsque la déchéance ne peut plus être cachée, l’humiliation s’y ajoute. La blessure qu’inflige le regard des autres, la gentillesse qu’on a tendance à prendre pour de la pitié coupent du monde. C’est une révolte destructrice, puisqu’on n’y comprend rien. Les rues de Rome, qu’il connaît bien et qu’il aime tant, deviennent hostiles. A-t-il pu continuer ses études, en a-t-il faites, au moins ? Dans quel taudis a-t-il abrité ses rêves ? Car ce ne sont ni ses relations anciennes, ni la fortune passée de son père qui lui ouvriront les portes d’Alfredo Vignale, cet ancien de chez Farina qui venait de fonder sa propre marque d’automobiles sur l’inimitable firmament italien. Chez Vignale, Dody commence à croire que tout est encore possible. Est-il trop jeune ? Se méprend-il sur l’avenir de Vignale, qui lui semble trop petit ? Le fait est qu’il quitte Vignale pour venir à Paris. Je le vois rêver de Renault, de Hispano-Suiza, de Citroën – des noms bien établis, qui n’avaient plus à faire leurs preuves comme Vignale. Dody avait dû se faire la main sur les carrosseries de luxe « fuoriserie », mais lorsqu’il décide de rejoindre la France, Vignale n’a encore sorti aucune voiture qui lui soit propre. Il sait pourtant que Vignale est une excellente carte de visite – et il compte là-dessus. Mais, contre toute attente, la réussite n’est pas au rendez-vous. Pourtant, il en a dessiné, des voitures … Lesquelles ? Le saura-t-on jamais ? Dans une lettre envoyée à notre grand-mère, il lui disait : « Regarde bien les nouvelles voitures qui passent dans la rue, c’est peut-être l’une de celles que j’ai dessinées ». Pauvre Dody, s’imaginait-il que la Roumanie des années 50 et 60 regorgeait des derniers modèles automobiles de l’Occident ?…Après l’éprouvante année passée au sanatorium, il se dit qu’il lui faudra un peu de temps, mais qu’il y arrivera. Annette lui fait croire que fonder une famille, mener une vie normale comme celle qu’il avait connue auprès de ses parents est possible. Seulement voilà, au moment de concrétiser ce possible, il se dit qu’il ne peut pas encore assumer les charges d’une famille, que sa situation est trop précaire. Au fond de son cœur, la vie s’est arrêtée à ses18 ans, avant la débâcle financière et la maladie de sa mère. Il se sauve, comme un enfant incapable d’assumer ses limites. Quelques années d’errances, d’une boîte à une autre, d’une ville à une autre, avec l’espoir qui s’amenuise. Un jour, J. Tastevin fait appel à lui. Il y croit à peine, tant le projet est ambitieux. Depuis le lancement du projet de la plus belle voiture de sport française à laquelle ce constructeur de wagons donne le nom de son épouse, en 1965, M. Tastevin se heurte à de nombreux problèmes. En 1968, vraisemblablement séduit par l’élégance du coup de crayon de Dody, si influencé par l’élégance des carrosseries italiennes, il décide de lui confier la lourde tâche de parfaire la Monica. Cette fois, il y croit. Il se lance à corps perdu dans ce projet, vérifie le moindre détail, va d’Italie en Angleterre pour superviser l’avancement de tous les corps de métier intervenants dans cette aventure. Il retrouve un peu de qu’il a été auparavant. Il fait les quatre cents coups innocents avec Henri Szykowski, sort dans des groupes de jeunes étudiants, se dévoile un peu – il raconte son amour pour Rome, quelques bribes sur la « mésaventure » financière de son père. En réalité, sous sa douceur et sa gaîté, il y avait un abîme de solitude. Il n’aura confié aucun ressenti intime, aucun doute, aucune blessure. Sur son matelas posé par terre qui lui sert de lit, rue Croulebarbe, enveloppé de la fumée épaisse de ses cigarettes, il pensait à son passé, à son présent, à son avenir qui avait tant de mal à s’ébaucher. Il en voulait à sa famille roumaine de ne pas l’avoir fait revenir au pays ; sa grand-mère lui parlait de son fils, mon père, lui disant qu’il avait un bon poste au Ministère de la Santé, et que sa femme, ma mère, se débrouillait pas mal comme médecin du sport. Ce n’était pas la grande joie, les gens avaient perdu leurs biens sous les communistes, mais ce n’était pas la misère. Il pensait à son oncle, mon père, qui aurait dû prendre la place de son propre père et lui offrir toutes les chances possibles – mais cet oncle, si jeune encore, ne lui écrivait pas, ne se préoccupait pas de lui. Amère solitude que celle dans laquelle on découvre que la famille qu’on croyait avoir n’est pas à la hauteur … Il a dû penser à moi, une gamine, se demandant comment j’étais, m’enviant inconsciemment d’avoir mes parents et de grandir dans l’insouciance, dans un monde de l’enfance et de l’adolescence préservé. Une autre femme est venue dans sa vie, il l’aima aussi, crut encore qu’un avenir était possible. Quel était le nom de cette femme ? Qui était-elle ? S’en souvient-elle encore, si elle est encore là? Malgré l’exaltante aventure de la Monica, malgré l’amitié d’Henri, indéfectible, malgré même cette femme qui lui disait que tout était possible, le doute le rongeait comme un cancer. Peut-être que, visionnaire comme il l’avait été pour la carrosserie de la Monica, sentait-il un danger menacer ce projet. Insidieux, le doute devait être en lui depuis longtemps. Il ne faisait plus entièrement confiance à la vie, aux autres. Il se calfeutrait dans sa solitude – là, le passé heureux revenait, personne ne pouvait le blesser ou le trahir. Personne ne lui disait, non plus, quel piège mortel cette solitude volontaire pouvait être. Un jour, le ressort de sa vie s’est cassé. Peut-être avait-il appris que trois paquets de cigarettes par jour avaient eu raison de ses poumons fragilisés par la tuberculose et la misère. Peut-être la précarité de sa vie lui a encore une fois murmuré qu’il était vain de rêver de fonder une famille tant qu’on ne peut pas l’entretenir. Peut-être a-t-il reçu un papier lui annonçant que, faute de paiement du renouvellement de la concession, les restes de sa mère allaient être transférés dans la fossé commune, à jamais mélangés au néant. Peut-être. Il n’y a plus que des peut-être, le concernant. Mais s’il est vrai que, tant que le nom de quelqu’un est prononcé il ne meurt pas, alors Dody vit toujours. Dans le cœur d’Henri, qui protège pudiquement leur amitié. Dans le mien, qu’il n’a jamais quitté depuis un demi-siècle. Dans celui de Frédéric Brandely qui l’a sorti de l’oubli. Dans celui de mes filles, qui le découvrent et le porteront encore longtemps avant de le transmettre à leurs enfants. Je n’ai jamais pu te le dire, Dody. Tu as continué de vivre en moi, ces presque quarante dernières années. Je garde ta timbale de baptême, je l’offrirai à mon premier petit-fils. Je l’avais gardée, avec le petit mot de notre mamie « à donner à Dody quand vous le verrez » … Je garderai tes photos, ton souvenir, mes blessures liées à toi. Je t’aime.
Ma numesc Dan Râscanu, arhitect, sunt nepotul lui Edouard Râscanu, frate cu Theodor Râscanu scriitorul. Ma ocup de genealogia familiei si m-as bucura daca asi primi un raspuns pentru a lua legatura in acest scop. Am genealogia Rascanilor a lui Gh. Ghibanescu publicata in seria "Surete si izvoade". Din pacate inteleg binisor franceza dar nu scriu si nici nu vorbesc prea bine. Adresa mea de e-mail: rascanu@gmx.net Am si pagina pe facebook. Cu multumiri, Dan Rascanu
j'etais l'ami d'ecole et de notre passion comune: les dessins des carosseries d'auto. Nous etions inseparees jusq'a son depart vers Rome. Ma chambre de 25 rue Roma a Bucarest a ete le temoin de notre passion comune. C'est la que aujourd'hui j'habite.Je veux metre a la disposition de toutes la anciens colegues (qui encore sont en vie),les informations sur la vie de Dody Rascanu. Je suis aussi etonee par la date de la disparition de Dody: je suis nee la 12 novembre 1933. horia strihan
Presque 3 mois vous séparaient, Monsieur Strihan - Dody est né le 2 février 1934 et mort - certificat de décès de la mairie du 13e arrondissement de Paris à l'appui - vers le 12 octobre 1970. Le corps a été découvert le 23 octobre, la date du décès est supposée.Il n'avait pas encore 37 ans, en effet.
Votre boîte de réception e-mail semble trop pleine, tout ce que je vous envoie me revient.
Amitiés,
Ina
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